«Si des astronautes doivent aller sur Mars, ce qui est envisagé vers 2040, ils doivent être prêts à y passer le restant de leurs jours», estime l’Américain Edwin «Buzz» Aldrin, deuxième homme à avoir foulé le sol lunaire le 21 juillet 1969.
«Les opportunités d’un séjour sur Mars sont meilleures que nulle part ailleurs, à cause des conditions proches de la Terre, bien meilleures que sur la Lune», selon le pilote du module lunaire d’Apollo 11.
En dépit d’une atmosphère totalement inadaptée à l’homme, Mars recèle notamment de grandes quantités d’eau sous forme de glace, qui pourraient être mises à profit par d’éventuels colons. Ces derniers ne doivent cependant pas espérer rentrer chez eux, le voyage entre notre planète et Mars devant durer au moins une année et demie.
L’astronaute imagine le scénario suivant: «A l’âge de 30 ans, on leur donne une opportunité. S’ils acceptent, nous les entraînons, et, à 35 ans, nous les envoyons. Lorsqu’ils auront atteint 65 ans, qui sait quelles avancées scientifiques auront eu lieu? Alors ils pourront prendre leur retraite sur place, ou peut-être pourrons-nous les ramener.»
Mais quel est donc le problême de tout ces gens avec la durée du voyage?
Voyez ce texte, futuriste?
« On partait en général début mars, pour revenir en octobre, témoigne Aimé Lefebvre, qui a passé trois ans sur des bateaux en baie de Terre-Neuve, de 1936 à 1938. Huit mois sans voir la terre, sauf quand on débarquait un marin blessé. » Paradoxalement, c'est quelqu'un qui n'a jamais mis le pied sur un bateau de pêche qui est à l'origine de Mémoire de terre-neuvas.
Source:Petites histoires de la Grande pêche - Saint-Malo
Oui, les marins de tout pays sont partis à la découverte ou à la chasse et pêche, avec les soucis, les drames, mais ils ont construit le monde d'aujourd'hui en grande partie, alors pourquoi est-ce si incroyable d'envoyer des Hommes sur MARS?
Source:20 minutes
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